Un pas vers la signature électronique

L a signature électronique est reconnue juridiquement depuis les années 2000. Les avancées technologiques ont rendu cette pratique plus simple. A l’heure où la majorité des échanges commerciaux se fait majoritairement par email ou téléphone, elle représente un avantage concurrentiel certain. Dans une démarche de dématérialisation, la signature électronique est une plus-value non négligeable qui améliore d’autant l’expérience client en offrant la possibilité de valider instantanément un accord passé. Si le paiement fait office d’acceptation d’un contrat dans la majorité des cas, certains engagements nécessitent une garantie juridique plus poussée. Il faut savoir que signer un document depuis son ordinateur ou le scanner après l’avoir signé ne représente aucune valeur juridique. Selon les normes européennes eIDAS, la signature électronique doit être délivrée par un Prestataire de Services de Confiance (PSCo) qui garantira l’intégrité du document ainsi que l’identité du signataire. Son intervention est un gage de qualité et de sécurité autant pour les clients que pour l’entreprise.

Adopter la signature électronique est un gain de temps puisqu’il n’est plus nécessaire d’imprimer les documents pour le client, de les envoyer ensuite par courrier. Les délais de traitement sont accélérés, les procédures simplifiées. En interne les applications métier permettent d’automatiser le processus en évitant les erreurs de saisie tout en favorisant la qualité du service. On limite également ainsi les risques d’abandon de contrat. Et même lors de rendez-vous physique, la signature électronique fait bénéficier le client d’une expérience innovante. Elle est devenue un véritable atout dont les entreprises ne devraient plus se passer.